«Promesse» de Rachel Eliza Griffiths : le racisme en héritage

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«Promesse» de Rachel Eliza Griffiths : le racisme en héritage

«Promesse» de Rachel Eliza Griffiths : le racisme en héritage
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Le cahier Livres de Libédossier
Dans ce premier roman, l’autrice et poétesse raconte le destin d’une famille noire qui subit la ségrégation de génération en génération.
Deux parents noirs font la queue pour inscrire leurs enfants dans une école de la ville de Nashville, auparavant réservée aux blancs, en août 1957. (UPI. AFP)

«Dans nos familles, on peut transmettre la souffrance, comme on transmet la vie.» Les mots de Ginny, la grand-mère de Hyacinth et Ezra, pourraient résumer le premier roman de la poétesse et artiste Rachel Eliza Griffiths, mariée à Salman Rushdie. De génération en génération, les Kindred sont victimes du racisme et de la ségrégation aux Etats-Unis. Les traumatismes qui en découlent forment un héritage douloureux. Les parents des deux jeunes filles tentent d’enrayer l’engrenage dans les années 50 en quittant leur ville natale pour l’Etat du Maine, plus au Nord. Ils y trouvent une communauté méfiante à leur égard mais qui n’est au moins pas violente. Le père peut enseigner au lycée et ses filles suivent les cours aux côtés des élèves blancs, dont Ruby, une amie a

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