Contrefaçon: "En acheter, c'est financer le crime organisé. Europol identifie 31 organisations"


"Le problème, c’est qu’aujourd’hui, acheter une contrefaçon n’est plus un acte anodin: c’est financer le crime organisé, le terrorisme, tous les crimes que l’on condamne", alerte Delphine Sarfati-Sobreira, directrice générale de l’Unifab. Elle dénonce un système de plus en plus structuré : "Les contrefacteurs sont de plus en plus organisés. Europol identifie 31 organisations criminelles impliquées, qui pénètrent tous les circuits de distribution légitimes."
RMC