Toulouse, Rennes, Dijon… Les métropoles cherchent à être attractives

C’est un indicateur parmi beaucoup d’autres, mais il représente souvent un signe avant-coureur des tendances de l’investissement en France et, à ce titre, il bénéficie toujours d’un coup de projecteur : le dernier baromètre du cabinet de conseil EY, qui interroge plusieurs milliers de dirigeants d’entreprises étrangères sur leurs prévisions d’investissements en Europe, livre un résultat plus ambivalent pour la France cette année par rapport aux enquêtes précédentes.

Certes, l’Hexagone reste, pour la sixième année consécutive, le pays qui a accueilli le plus grand nombre d’investissements internationaux en 2024. Mais les projets d’implantation ou d’extension ont reculé de 14 %. Et, surtout, les créations de postes générées par ces projets ont fortement diminué (-27 % en 2024 par rapport à l’année précédente). Autrement dit, les investisseurs se montrent toujours plus prudents dans un contexte international c…