Calendrier 2026 de la Formule 1 : Imola disparaît, Madrid apparaît, Monaco en juin

La Formule 1 a communiqué ce mardi la composition du calendrier 2026 et les dates des 24 Grands Prix, un chiffre identique à 2025 et 2024. Mais après le statu quo entre la saison dernière et celle actuelle, il y aura une petite évolution en 2026 : le Grand Prix d'Emilie-Romagne, à Imola, réapparu en 2020 lors de la réorganisation de la saison due au Covid-19, disparaît.
À l'inverse, celui de Madrid arrive, placé tout au bout de la partie européenne de la saison, mi-septembre. L'Espagne aura donc deux épreuves, pour une année seulement a priori, le contrat de Barcelone, toujours en mai, arrivant à échéance l'an prochain. Comme cette année, les dates du Ramadan vont imposer un début d'exercice en Australie (GP le 8 mars), puis un enchaînement Chine (15 mars) - Japon (29 mars) avant de se rendre à Bahreïn (12 avril) et en Arabie saoudite (19 avril).
Évolution principale, les courses à Miami (3 mai) et au Canada (24 mai) se suivent désormais, même si elles sont séparées par deux week-ends sans course. Cela veut dire que comme évoqué au moment de la prolongation jusqu'en 2031, le Grand Prix de Monaco se disputera le premier week-end de juin (le dimanche 7). Autre conséquence plus étonnante, la course disputée à Montréal se retrouvera en collision frontale avec les 500 miles d'Indianapolis, monstre d'audience en Amérique du Nord (7 millions de téléspectateurs aux USA cette année).
Ce changement veut aussi dire que la Formule 1 restera en Europe sans discontinuer de juin à mi-septembre avec, entre autres, la dernière du Grand Prix des Pays-Bas, le 23 août. La fin de saison est identique à 2025 avec un passage par l'Azerbaïdjan (27 septembre) et Singapour (11 octobre) avant un enchaînement américain (Austin, Mexique, Brésil et Las Vegas) puis le final au Moyen-Orient, Abu Dhabi accueillant comme c'est la tradition la course finale, le 6 décembre.
À noter qu'il n'y aura plus que deux « triple-header », soit trois Grands Prix lors de trois week-ends consécutifs, mais ils concerneront les six dernières courses de l'année. Ce qui signifie que depuis Austin jusqu'à Abu Dhabi, il n'y aura qu'un seul week-end de relâche en sept semaines.
L'Équipe