Giorgetti a décidé d'introduire la toute nouvelle taxe EP : il n'y a pas d'exemptions | Les Italiens seront saignés à blanc en 2025

Giorgetti a fait son choix et a décidé d'introduire la nouvelle taxe EP, sans aucune exemption pour personne.
Nous savions depuis janvier que 2025 serait un mois très difficile pour les Italiens sur le plan économique. Cela a été confirmé par toutes les mesures prises par notre cher ministre de l'Économie, Giancarlo Giorgetti, qui a annoncé la nécessité d'un effort collectif, impliquant toute la population.
Voici maintenant une nouvelle mesure fiscale qui ne ferait que nuire aux citoyens et menacerait de modifier profondément le système économique du pays.
Les Italiens ont déjà tiré la sonnette d’alarme et, après des mois de promesses d’ impôts forfaitaires, d’amnisties et de simplifications fiscales, le gouvernement semble prêt à introduire un mécanisme qui, sous une apparente rationalité, se traduit par un nouveau coup dur.
Alors essayons de clarifier les choses pour que nous puissions comprendre ce qui se passe.
L'Italie sous pression : coupes budgétaires, sacrifices et nouvelles taxesNous traversons un contexte économique déjà tendu : l’inflation continue de frapper les Italiens, la consommation est en baisse et le gouvernement lance une vaste révision des dépenses publiques. Giorgetti et Meloni ont décidé qu’il fallait réduire le gaspillage, et cela ne peut se faire qu’en réorganisant les dépenses. L’alternative consiste à intervenir dans des secteurs spécifiques par des coupes budgétaires qui ne feraient qu’aggraver leur situation. De ce point de vue, ce que beaucoup appellent une « révision des dépenses » fait son retour.
Lors du Conseil des ministres, les détails ont été clairs : actuellement, seules les collectivités locales sont protégées ; les autres devront faire face à des rationalisations et des réductions. Une nouvelle forme de fiscalité, ciblée mais extrêmement efficace, sera indispensable. Cette annonce a provoqué un krach boursier, Stellanti et MPS enregistrant des pertes.

Le nom n'a pas encore été officiellement annoncé, mais il semble qu'une taxe sur les profits excédentaires bancaires soit envisagée, même si elle a déjà été oubliée en raison de son inefficacité. La taxe EP ne prend pas en compte la qualité d'une entreprise, mais plutôt ses bénéfices supérieurs à la moyenne de son secteur, notamment en raison de conditions de marché favorables et non de ses propres mérites. De ce point de vue, les entreprises des secteurs de l'énergie, des technologies, de la logistique et même de la défense sont ciblées. Des secteurs en crise depuis longtemps devront donc encaisser un nouveau coup.
Giorgetti a été clair : « Les entreprises ne font pas de charité. Si elles gagnent plus grâce au contexte extérieur, il est normal qu'elles reversent une partie de ce bénéfice à la communauté. » On craint le recours à une fiscalité punitive, mais pour l'instant, les jeux sont faits et la taxe sur les bénéfices des entreprises ne laisse aucune issue.
Sicilia News 24