Augmentation de salaire pour 600 000 travailleurs dans le cadre d'une convention collective | La troisième offre a-t-elle été proposée aux fonctionnaires de la 4D ? Quel sera son pourcentage d'augmentation ? Les chiffres du tableau sont disponibles sur...


L'expert en sécurité sociale Serkan Kumdakçı, présent en direct de l'émission « A Haber », a analysé les détails du processus et les évolutions possibles. Il a souligné que non seulement l'augmentation des salaires, mais aussi les questions administratives et structurelles étaient à l'ordre du jour.

Quelles sont les revendications des travailleurs ?
Kumdakçı a déclaré que les travailleurs réclament non seulement une augmentation en pourcentage, mais aussi diverses réglementations administratives. En particulier, des revendications telles que la facilitation des processus de transfert et de relocalisation, la fixation des taux prévus à l'article 103 de la loi sur l'impôt sur le revenu et l'intégration des travailleurs sous-traitants au sein du personnel permanent sont au premier plan.

Les fonctionnaires, qui n'ont pas reçu d'augmentation depuis janvier 2025, réclament une augmentation de 50 % pour les six premiers mois et de 25 % pour les six mois suivants. Une augmentation de 25 % est également réclamée sur deux périodes pour 2026. De plus, une part de 10 % des allocations sociales figure parmi les revendications.

Quelles sont les propositions du gouvernement ?
L'employeur a présenté une offre initiale de 16 % pour les six premiers mois de l'année, de 8 % pour les six mois suivants, de 7 % pour les six premiers mois de 2026 et de 5 % pour les six mois suivants. Lors des négociations ultérieures, cette offre a été augmentée d'un point, passant à 17 % par l'intermédiaire de TÜHİS. Le taux de 10 % est resté inchangé pour les six mois suivants. En revanche, les taux pour 2026 n'ont pas été modifiés.

Kumdakçı a déclaré que les propositions formulées étaient conformes au programme économique à moyen terme et que le gouvernement avait déterminé les augmentations proposées dans le cadre des données d'inflation et des politiques monétaires de la Banque centrale. Il a souligné que le ministère du Trésor et des Finances était particulièrement impliqué dans le processus en termes d'équilibre budgétaire et de discipline budgétaire.
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