Le rêve du visa Schengen

Je n'espère pas du tout.
L’UE bloque la Turquie depuis des années. Les portes sont fermées concernant le visa Schengen. Ils ont amené 5 millions de réfugiés sur nous et maintenant ils continuent à parler. Où est l’Europe sans visa ?
Ils rampent littéralement aux portes de l’Europe. Regardez maintenant, ils exigent même un visa pour un passeport vert.
Si l’on met tous ces développements ensemble, on constate que le visa Schengen est un rêve.
La délégation de l'Union européenne (UE)-Turquie a fait une déclaration concernant des informations de presse affirmant que les employés d'une entreprise turque demandant un visa Schengen se voient désormais demander non seulement des documents individuels mais également le relevé complet des dépenses de l'entreprise pour les trois derniers mois. « Nous sommes attristés de constater la désinformation généralisée concernant les visas Schengen dans certains médias turcs », indique le communiqué.
« Le nombre de documents est bien inférieur à ce qui est rapporté dans les médias »
Le texte de la déclaration est le suivant :
"Pour éviter tout malentendu éventuel :
Contrairement aux affirmations selon lesquelles trop de documents justificatifs sont demandés pour les demandes, les documents demandés pour les demandes de visa Schengen à faire en Turquie pour les voyages d'affaires sont répertoriés dans la décision d'exécution de la Commission de 2021 relative aux demandes de visa de court séjour à faire en Turquie, qui est accessible au public et utilisée par tous les consulats Schengen. Comme on peut le constater à partir de cette liste, le nombre de documents est bien inférieur à ce qui est rapporté dans les médias.
L’affirmation selon laquelle certains États membres fermeraient leurs frontières de visa à la Turquie est également fausse. En fait, les consulats Schengen traitent un nombre record de demandes de visa, dépassant largement les chiffres d’avant la pandémie.
Contrairement aux affirmations des médias selon lesquelles les visas Schengen sont chers, les frais de demande sont de 90 € (et moins pour certaines catégories bien définies). Des frais supplémentaires, appelés « frais de service », peuvent être facturés par des prestataires de services de visa externes (sociétés officielles désignées par les États membres pour recevoir les demandes de visa au nom des États membres) ; Toutefois, ces frais sont limités par les règles de l’UE. Bien qu’il soit reconnu que les traductions officielles peuvent entraîner des coûts supplémentaires, ces coûts sont bien inférieurs aux montants cités dans les médias. Malheureusement, il existe également en Turquie de nombreux intermédiaires non autorisés qui facturent des frais disproportionnés sous prétexte de faciliter les procédures de visa. Ces intermédiaires non autorisés n’ont aucun lien avec les consulats Schengen. Il n’est pas nécessaire de recourir à ces intermédiaires pour demander et obtenir un visa Schengen. De plus, ces agents ont souvent des comportements frauduleux.
İstanbul Gazetesi