Coupe du Roi : Sortloth le bourreau, Alvarez et Griezmann infernaux, Koundé dépassé... Les tops/flops de Barcelone-Atlético
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À l’issue de la spectaculaire demi-finale aller de Coupe du Roi mardi soir entre le FC Barcelone et l’Atlético de Madrid (4-4), découvrez ce qui a plu... et déplu à notre rédaction.
TOPS
Alexander Sorloth, bourreau du BarçaComme en décembre dernier, Alexander Sorloth a fait parler la poudre dans les arrêts de jeu. A l’époque, c’était pour offrir la victoire à l’Atlético en championnat (1-2). Mardi, c’était pour arracher le nul en demi-finale aller de Coupe du Roi (4-4). Entré en jeu à la place d’Antoine Griezmann (68e), le géant (1,95m) a fait parler sa fraicheur et son impact physique pour faire la différence et arracher le nul (4-4) dans cette demi-finale aller de Coupe du Roi. Le finisseur rojiblanco a fait parler son sang froid pour arracher l’égalisation dans les dernières secondes (90e+3). Létal. Le bourreau du Barça cette saison.
Antoine Griezmann et Julian Alvarez infernauxLe duo offensif madrilène a livré un match (très) intéressant. D’abord buteur dès la première minute de la rencontre, l’attaquant argentin s’est mué en passeur pour offrir le second but de son équipe au Français (6e). Décisifs pour l’un et pour l’autre, les deux compères ont engendré beaucoup de dégâts sur la défense catalane, jusqu’à la sortie de l’ancien international tricolore, peu après l’heure de jeu (68e).
Lamine Yamal a fait (très) malLe feu follet catalan a encore livré une prestation majuscule. En feu sur son aile droite, le Blaugrana n’a cessé de donner le tournis par ses dribles incessants au pauvre Javi Galan, remplacé à la 55e minute, complètement essoré. Même s’il n’a pas trouvé le chemin des filets face aux Colchoneros, le prodige espagnol a contribué à énormément d’offensives de son équipe et a apporté un danger constant, en frappant notamment plusieurs fois au but, poussant Juan Musso à la parade.
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Un match magistral, immortel AtléticoQuel affrontement spectaculaire. Alors qu’ils menaient 2-0 au bout de 10 minutes. Les Rojiblancos se sont fait renverser pour voir le Barça prendre les commandes (4-2). Mais c’était (évidemment) sans compter sur la résilience légendaire des hommes de Diego Simeone. Comme à leur habitude, les Madrilènes sont revenus d’entre les morts pour arracher un résultat qui paraissait inespéré. Auteur de 16 buts cette saison dans le temps additionnel des matches. L’Atlético ne meurt jamais.
FLOPS
Jules Koundé pas dedansAlors que le Français réalise, jusque-là, une magnifique saison, notamment sur le plan offensif, ce dernier n’a pas été au niveau défensivement. Fautif et mal positionné sur certains buts madrilènes, l’arrière droit des Bleus a semblé dépassé.
Le Barça s’est tiré une balle dans le piedLes hommes d’Hansi Flick, qui menaient alors 4-2 à un peine un quart d’heure de la fin, concède le nul 4-4 à domicile dans cette demi-finale aller. Les Blaugranas peuvent vraiment s’en vouloir. Ces derniers avaient la place d’inscrire un cinquième but pour enterrer définitivement les espoirs des Colchoneros, mais les Catalans ont préféré calmer le jeu et jouer à la « balle balle ». Une attitude qu’ils ont payée cash. Le Barça ne signe vraiment pas une bonne opération et s’est tiré une balle dans le pied avant la manche retour, le 2 avril dans la capitale espagnole.
lefigaro